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Parcours
 

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Dans ma jeunesse, entre 15 et 20 ans, je suis les cours du soir à l’école des Beaux-arts du Havre.

Dans les peintures à l’huile je cherchais déjà la transparence par une forte dilution dans l’huile.

Mes études à Lyon,

m’ont entraîné dans le monde industriel, hors du domaine artistique.

Mes instants de loisirs étaient comblés par la vie familiale. Je n’ai donc plus touché mes pinceaux pendant 50 ans.


Pour l’anniversaire de mes 70 ans, mes enfants et petits enfants (ayant vu quelques vieux tableaux dans la maison), m’offrent une boite d’aquarelles. Je leur dis alors : « Que voulez-vous que je fasse de cela, je n’ai jamais fait d’aquarelle ! ». L’aquarelle étant en effet une technique très spéciale, plus difficile qu’il n’y paraît.
 

Un an plus tard, fin 2013, je m’inscris au cours d’Anne DOUILLET à Veyras, au sein de l’association « Aquarelle et Liberté » et j’y découvre les bases. Aujourd'hui, je travaille avec Jean-François ARNAUD et Marianne BORGNA-FRANSIOLI.

Devenant passionné par ce médium, je me perfectionne par des stages auprès des plus grands aquarellistes :

Janine GALLIZIA,

Igor SAVA,

Sonia PRIVAT,

Fernand THIENPONDT,

Thierry De MARICHALAR,

Violaine ABBATUCCI,

David CHAUVIN ,

Pascal PIHEN.

 

Ce qui compte pour moi, c’est l’entraînement. Auprès de moi, j’ai toujours mon carnet de croquis (où je m’exerce au stylo bille) ainsi que mon ‘carnet de voyage’ pour des petites aquarelles vites faites sur le site. J’estime en effet que le dessin est incontournable, ne serait-ce que pour apprendre à regarder et capter l’essentiel.

Ma recherche consiste à créer une ambiance, une atmosphère ou une expression, quel que soit le sujet traité : paysage, portraits, nature morte…

Depuis un an, j’adopte

une technique plus ‘lâchée

une approche plus contemporaine

sous le pseudonyme de ‘YANUALED

 

Mon nom inversé signifie que dans la procédure j’ai inversé la façon de  réaliser mes aquarelles sans dessin préalable.

D’abstraite, la peinture devient presque réaliste et on y découvre des paysages imaginaires, c’est pourquoi je les appelle mes

« figures-hâtives ».

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